Chapitre 5 - La peur
28/06/2012 10:28
On se dirigea vers un endroit tranquille où on pouvait parler sans être espionné. Je lui demandais :
- Que veux tu savoir de moi ?
- Qui es tu ?
- Je suis comme tu l'as remarqué un vampire.
- Mais pourquoi es tu venu ici ?
- Comment dire je suis recherché par les miens.
- Pourquoi ?
- Comme je suis la plus puissante de la lignée royal, j'ai le devoir de succéder la reine et donc je deviendrais la prochaine reine mais je ne supporte pas d'avoir des domestiques, d'être enfermé dans un palais. Je souhaite juste être libre de mes propres choix, de mes propre actions et pour courronner le tout la reine choisit un homme dont je serais obligé de me marier avec lui.
- Ma pauvre !
- Tu peux le dire et toi qui es tu ?
- Je suis un loup garou, me dit il en me souriant.
- Oui je le sais mais pourquoi es tu venu ici ?
- Mes parents étaient les plus puissant de tout les alphas.
- Pourquoi "étaient" ?
- Il sont mort devant mes yeux, ils ont été assassinés par des vampires.
- Désolée.
- Ce n'est pas grave. Je suis le dernier de la famille la plus vielle et la plus puissante. Je suis recherché par ceux de mon espèce pour me faire manipuler et donc diriger toutes les meutes et je suis aussi recherché par les vampires car ils veulent me tuer.
- Mais c'est horrible !
- Oui surtout quand on voit ces parents mourir devant ces yeux, me dit-il d'un regard malheureux.
Je le pris dans mes bras et lui caressa le dos.
- Tu avais quel âge quand tes parents sont mort ?
- Dix ans.
Je continuai de le serrais dans mes bras il commença à pleurer puis se retient. Il me regarda d'un aire triste.
- Après les cours est ce que tu voudrais venir avec moi chez moi ? demandais-je.
- Oui mais tes parents ?
- Ils ne te feront rien je te le promet, dis-je avec une voix qui se voulait être rassurante.
On repartit vers notre prochain cours main dans la main. Il me la serra comme si ça vie en dépendé. Tout le monde nous regardait abasourdie mais je m'en fichais car le plus important était de voir Gabriel sourire. Je le surpris encore à me regarder.
A le fin des cours nous nous dirigeons à pieds chez moi. J'avais prévenu mon frère que je ne prendrais pas la voiture. Gabriel me serra la main et me regarda avec de la peur quand nous commençâmes à franchir le portail.